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Open data : entre ouverture, transparence et réutilisabilité


On appelle « données ouvertes » des données issues d’acteurs publics ou privés et divulguées sous licence ouverte, permettant leur accès, traitement et réutilisation par tous.

Depuis la loi Lemaire parue en 2016, l’administration française est tenue de mettre à disposition du public un certain nombre de données. Ministères, collectivités territoriales, établissements publics… se doivent de publier leurs données dont la publication présente un intérêt économique, social, sanitaire ou environnemental.


L’information publique devient un bien commun dont la diffusion est d’intérêt public et général.


Divulguer des données ouvertes c’est :

  • Un effort de transparence et de rationalisation de la part des administrations publiques et un gain indéniable en matière de participation et d’innovation citoyenne ;

  • Un potentiel économique fort : une information accessible peut être source de nouveaux produits et services et donc d’emplois ;

  • De meilleures décisions et politiques publiques : l’information est générée et remontée plus rapidement.

Cependant même si les efforts soutenus d’initiatives reconnues (Etalab et Open Data France notamment) en matière de standardisation ont porté leurs fruits, l’exploitation de ces données peut se révéler « stimulante » techniquement.


Transparence, évaluation des politiques publiques, moteur d’innovation … les bienfaits de l’ouverture des données sont établis. Pourtant, dans certains cas, réutiliser les données est ardu et l’on peine à les qualifier d’ « ouvertes ».


SPALLIAN a réalisé ce tableau de bord pédagogique afin de sensibiliser aux principaux problèmes rencontrés et notions à assimiler lors du traitement de données ouvertes.

Grâce à des mini-jeux, des cartographies et des graphiques, vous pouvez vous familiariser avec les différents concepts et bonnes pratiques nécessaires à l’exploitation et l’analyse de données ouvertes.






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